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Wenn selbst Sozialämter Geflüchteten nicht mehr helfen können

Eine Unterkunft muss schließen, rund 40 Asylberechtigte verlieren damit ihren Wohnort – selbst die Sozialämter können nichts für sie tun. Warum das der Fall ist.
Nach der Schließung des Centre d‘accueil d‘Eich könnten rund 40 Menschen auf der Straße landen, wenn sich das Nationale Aufnahmeamt nicht um eine Umsiedlung bemüht.
Florian Javel, Luxemburger Wort 25.9.2024

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Hold Up Two (HUT)

oder wie man eine unbequeme zivilgesellschaftliche Organisation entkernt und abwickelt

Nach dem Motto „Never waste a good crisis“ ist Premierminister Luc Frieden in der Caritas-Affaire auf volles Risiko gegangen. Gelingt ihm der zweite Hold Up auf die Caritas innerhalb von zwei Monaten, kann er die luxemburgische Zivilgesellschaft für Jahre hinaus politisch einschüchtern und verhindern, dass der Skandal sich auf den Finanzplatz ausweitet.

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Migrationspolitik und Kriminalität: Empowerment der Banden

In Deutschland wird erregt über eine generelle Zurückweisung von Asylsuchenden diskutiert. Auch in anderen Staaten Europas findet man diesen Gedanken attraktiv. Doch wer legale Fluchtwege verhindert, überlässt nicht nur Schutzbedürftige ihrem Schicksal, sondern macht sich erpressbar und stärkt die Macht krimineller Banden und Regimes.

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Maisons de retour

Luxemburger Wort 30. August 2024

Regierung erleichtert freiwillige Rückkehr von Flüchtlingen

Wer sich illegal auf luxemburgischem Boden befindet und ausreisepflichtig ist, soll seine Ausreise in der ersten Maison de retour in Kirchberg planen.

Das Flüchtlingszentrum LuxExpo.  Foto: Gerry Huberty

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«Tout et n’importe quoi»

Edito du Quotidien, David Marques, 22 août 2024

Les réfugiés sont de bons boucs émissaires pour tout et n’importe quoi, surtout ceux qui sont un peu plus exotiques. On les rend responsables de la pénurie de logements, de la montée du chômage, de l’inflation, de la hausse de la criminalité, de l’insalubrité de certains lieux. On oublie simplement qu’il y a toujours eu des réfugiés et que ces personnes dont on ne veut pas font les travaux que les autres ne veulent pas faire.»
Dans notre Interview du lundi de cette semaine, l’Ombudsman, Claudia Monti, a utilisé des mots très clairs. Des mots qui
résonnent et qui laissent songeur. En y regardant de plus près, ce constat est juste. La question posée à l’avocate de formation était en lien avec un manque de volonté grandissant de la part d’administrations et de communes d’accueillir des demandeurs d’asile.
En effet, la réticence reste de mise, en dépit des importants efforts fournis. L’augmentation de la capacité des foyers de 250 %, soit 5 500 lits, entre 2014 et fin 2023 n’a pas suffi à éviter une saturation. L’afflux renforcé de réfugiés à lui tout seul n’est pas suffisant pour expliquer ce manque de capacités.
Au Luxembourg, certains milieux, politiques également, traitent effectivement les réfugiés en «bons boucs émissaires». Il suffit de penser à l’ADR. Certains élus du CSV ne sont pas en reste. L’immigration «illégale, massive et incontrôlée» est considérée comme la principale source des maux listés par Claudia Monti. Malheureusement, ces propos populistes et simplistes, voire racistes, sont partagés par un nombre grandissant de citoyens, alors que, dans les faits, la situation
est à relativiser.
Le Vieux Continent est-il vraiment envahi par les migrants? La réponse est non.
L’UE accueillait, fin 2021, moins de 10 % de l’ensemble des réfugiés dans le monde. Les personnes cherchant à trouver refuge représentaient alors 1,5 % de la population totale de l’UE. La majorité des réfugiés d’Afrique et d’Asie ne viennent d’ailleurs pas en Europe, mais s’installent plutôt dans les pays voisins.
Il est dès lors plus approprié de faire la part des choses, y compris en assurant un traitement digne aux réfugiés qui peuvent espérer rester en Europe et à ceux qui ne pourront pas bénéficier d’un droit de séjour

 

 

Permettre aux réfugiés d’être les acteurs de leur inclusion

Oliver aide concrètement les bénéficiaires à avancer dans leurs projets professionnels lors des rendez-vous individuels.

Le Quotidien 9 août 2024

L’association Singa Luxembourg promeut une démarche nouvelle dans l’inclusion des réfugiés. Nous avons rencontré les personnes qui œuvrent chaque jour pour le permettre.

Singa Luxembourg, voilà une ASBL qui porte bien son nom. Elle le tient du mot «lien» en lingala, langue bantoue parlée au Congo. Fondée en 2020 par Jimmy Corneille, la branche luxembourgeoise de l’association internationale tente d’inclure les «nouveaux arrivants» (demandeurs et bénéficiaires d’une protection internationale) dans la société grand-ducale. «Elle est née de l’envie que les gens se connectent et que cela puisse apporter une richesse à la fois aux personnes nouvelles arrivantes et aux personnes locales», se remémore le fondateur. Le lien, c’est donc ce que Singa met en avant à travers ses différentes fonctions.

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