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Flüchtlingsheim in Tandel

Fünf Gesichter der Integration

Die Gemeinde Tandel zeigt, wie vielfältig Sozialarbeit auch im ländlichen Raum sein kann

VON NICO MULLER

Immer mehr Gemeinden haben in den vergangenen Jahren die Wichtigkeit der Bereitstellung von sozialen Strukturen erkannt. Ganz besonders hervor tut sich in dieser Hinsicht jedoch die Gemeinde Tandel, die gleich fünf solcher Einrichtungen zur Verfügung stellt.

Luxemburger Wort 6. Dezember 2017

Einer von uns …

Schüler protestieren in Diekirch gegen Zwangsrückführung des zwölfjährigen Youssef nach Georgien

Luxemburger Wort 25.11.2017

Nachdem die Rückführung eines zwölfjährigen Jungen und seiner Mutter nach Georgien jüngst in den sozialen Medien für emotionsgeladene Debatten gesorgt hatte, zeigte gestern nun die Schulgemeinschaft des Diekircher „Lycée classique“ Solidarität mit Youssef L’Emir.

“Mir wëllen de Youssef zeréck”

RTL télé  24.11.2017
Am Oktober gouf de Youssef zesumme mat senger Mamm per Retour forcé a Georgien déboutéiert. E Freideg war eng Protestaktioun am Dikrecher Lycée Classique.

Quand un réfugié vit chez un résident

Lancée à l’automne 2016, OH! Open  Home – Oppent Haus accompagne les résidents prêts à héberger un réfugié chez eux.

Samedi, à Hariko, à Luxembourg, lors du premier anniversaire de l’initiative citoyenne, réfugiés et résidents qui vivent ensemble ont évoqué leur «enrichissement commun».
En un an, l’initiative citoyenne a permis à 62 réfugiés d’être logés chez des résidents. «Un expérience enrichissante» pour tous.

Le Quotidien 21 novembre 2017

Le PIA et le dialogue avec la société civile

Selon le Land  de ce jour, les moyens de l’OLAI passeront de 33,3 millions d’euros en 2016 à 42,7 million dans le budget 2018.

Pour le PIA (Parcours D’intégration accompagné) sont prévus 500 000 euros.

Par une Question Parlementaire le député David Wagner s’était enquis si le Ministère avait (eu) un dialogue avec le Ronnen Desch au sujet PIA. Plutôt que de trahir la Ministre, lisez la réponse.

Le gouvernement du dialogue ………

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Regards inversés «Mär Sinn Escher»

Regards inversés

«Mär Sinn Escher»: un projet culturel pour et avec des demandeurs d’asile

Esch/Alzette. La venue de réfugiés pose bon nombre de questions et s’accompagne souvent de craintes. A Esch/Alzette, la ville aux 124 nationalités, le sujet est d’actualité. De nombreux débats souvent houleux ont eu lieu. Le projet «Mär Sinn Escher» cherche de nouvelles réponses en proposant dans les semaines à venir une série de manifestations culturelles pour s’attaquer au problème.

Plusieurs partenaires eschois – le théâtre, la Kulturfabrik, le musée national de la Résistance, l’administration communale, mais aussi la Caritas et l’Asti – regroupent leurs forces pour donner la parole aux demandeurs de protection internationale qui vivent sur le territoire de la ville.

Le photographe Patrick Galbats a, par exemple, eu l’idée de confier un appareil photo à une douzaine de réfugiés du foyer de la Grand-Rue en leur demandant de partir à la rencontre des Eschois. «Normalement nous portons notre regard sur eux, cette fois-ci c’est le contraire qui a lieu», note Fred Entringer de la Kulturfabrik.

Rosaire, l’un des participants à cet atelier photo, se réjouit: «Allez à la rencontre des Luxembourgeois avec un appareil photo est nettement plus facile, les barrières tombent.» Ces regards inversés, qui seront présentés au théâtre, s’annoncent prometteurs.

Deux pièces de théâtre, un documentaire et une soirée de sensibilisation sont également prévus. thi

 

Luxemburger Wort 10 Oktober 2017