ASTI fordert eine unabhängige Beobachtungsstelle von Rassismus
In Luxemburg gibt es nicht genügend Statistiken zu
rassistischen Vorfällen. Deswegen will die
Ausländerorganisation eine neue staatliche Stelle
In Luxemburg gibt es nicht genügend Statistiken zu
rassistischen Vorfällen. Deswegen will die
Ausländerorganisation eine neue staatliche Stelle
Luxembourg, le 21 mars 2025
À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les discriminations raciales ce 21 mars 2025, l’ASTI tient à exprimer sa profonde préoccupation face à l’absence de progrès significatifs dans l’élaboration du Plan national de lutte contre le racisme. Alors que le racisme et les discriminations persistent dans de nombreux domaines de la société luxembourgeoise, le retard du gouvernement en la matière est inacceptable. Initialement prévu pour fin 2023, il tarde à voir le jour…
Initialement prévue pour fin 2024 ou au plus tard pour le début de l’année prochaine, la publication du Plan d’action national contre le racisme a été reportée au deuxième semestre 2025.
Laut einer aktuellen Studie hat jede zweite Person muslimischen Glaubens in Europa in den vergangenen zwölf Monaten Erfahrungen mit Rassismus und Ausgrenzung gemacht.
EDITORIAL Versäumt die Politik den Kampf gegen Rassismus?
Isabel Spigarelli ispigarelli@tageblatt.lu, tageblatt 29.10.2024
Frau Delvaux-Mufu: Der Name weckt in Luxemburgs kollektivem Gedächtnis Erinnerungen an ein schockierendes Bild, an einen tragischen Vorfall. Der Großteil der jüngeren Generationen kann ihm vermutlich weder ein Gesicht noch eine Geschichte zuordnen. Zu lange liegen die Ereignisse zurück: Im Oktober 2004 zündete sich eine Frau afrikanischer Abstammung auf der place d’Armes in Luxemburg-Stadt selbst an. Im Hintergrund forderten Demonstrierende mehr Klimaschutz; CSV-und LSAP-Politiker*innen walteten von den Regierungsgebäuden über das Großherzogtum.
Le Quotidien 28 mai 2024
Responsables politiques, représentants communaux et membres des commissions communales du vivre-ensemble interculturel étaient réunis à Dudelange la semaine dernière pour échanger avec des associations sur le thème du racisme et de l’importance de promouvoir le respect et la tolérance au niveau local.
Cette 12e édition du Forum pour le vivre-ensemble au sein de nos communes – anciennement Groupe d’échange et de soutien en matière d’intégration au niveau local (Gresil) – a rassemblé 170 participants issus de 60 communes et 25 associations œuvrant en faveur du vivre-ensemble.
Caty Diop et Madeleine Yougye de l’ASBL One People ont animé la rencontre. À la tribune, Sandrine Gashonga de Lëtz Rise Up, a évoqué l’histoire coloniale luxembourgeoise comme outil de lutte contre le racisme, tandis que Camille Perret et Manuella Tiako Penda de l’ONG Programmes d’aide et de développement destinés aux enfants du monde (Padem) ont animé un quiz interactif sur les stéréotypes et le processus de discrimination.
Une plateforme d’échange au niveau local
Des membres de l’association Ally Book Club ont expliqué les concepts de biais cognitifs et de microagressions ethno-raciales, tout en donnant les bonnes pratiques pour les combattre. Enfin, Jessica Lopes a présenté les résultats de la récente étude sur le racisme et les discriminations ethno-raciales au Luxembourg menées par le Cefis.
Une table ronde sur les actions antiracistes et antidiscriminatoires mises en place dans les communes a ensuite permis à plusieurs intervenants de détailler quelles actions concrètes sont menées à Steinfort, à Esch-sur-Alzette ou encore à Dudelange.
Ce forum est né en 2018, du fort intérêt et du besoin des communes à travailler en réseau sur les thèmes qui concernent le vivre-ensemble interculturel. Il leur offre deux fois par an une plateforme de rassemblement, d’échange, de création de synergies, de formation et de soutien dédiée à tous les sujets liés à l’intégration et la cohabitation.
Le prochain rendez-vous est fixé cet automne, tandis que la documentation complète de cette édition – présentation d’une soixantaine de pages – est déjà disponible sur le site web dédié.
gemengen.zesummeliewen.lu
Die NGO Lëtz Rise Up warnt: In Luxemburg nehmen rassistische Vorfälle in Form von Hassrede, insbesondere im Internet, zu. Dies teilt die antirassistische Organisation nach einem Treffen mit dem Familienministerium in einer Pressemitteilung mit. Auf der Tagesordnung war unter anderem der nationale Aktionsplan gegen Rassismus, den die vorige Regierung nicht zum Abschluss gebracht hatte (woxx 1761). Die jetzige Regierung müsse das nun rasch nachholen, denn die Lage sei „beunruhigend“, so die NGO. Beispielsweise hätten die Meldungen rassistischer Vorfälle an Schulen zugenommen. Bereits im vergangenen Jahr hatte die „Europäische Kommission gegen Rassismus und Intoleranz“ (ECRI) auf eine Zunahme des rassistisch motivierten Mobbings an hiesigen Schulen aufmerksam gemacht. Zwar ist laut einer Studie des Forschungsinstituts Liser die Anzahl der Befragten, die meinen, rassistische Reaktionen seien manchmal gerechtfertigt, im Vergleich zu den Nachbarländern Frankreich und Belgien mit 15,2 Prozent eher „gering“. Gleichwohl fand eine Mehrheit der Befragten (68,4 Prozent), dass zusätzliche Maßnahmen gegen Rassismus notwendig sind (woxx 1675). Überdies würden 66,6 Prozent der Betroffenen von Rassismus und anderen Diskriminierungen die Vorfälle nicht melden, schreibt Lëtz Rise Up. Die NGO kritisiert die mangelnde Datenerhebung und fordert finanzielle und politische Unterstützung, etwa in Form einer spezifischen Arbeitsstelle, um stärker gegen Rassismus und LGBTIQA-Diskriminierung vorzugehen.