Le Quotidien avait évoqué en 2015 le périple d’un réfugié de guerre syrien, Rami Alattar, qui avait fini par arriver au Luxembourg, avant d’y faire une demande d’asile. Il est aujourd’hui à la tête d’une entreprise.
Près de trois ans et demi après sa demande d’asile au Luxembourg, le réfugié syrien Rami Alattar a créé sa start-up qu’il développe au sein de la Luxembourg House of Financial Technology (LHoFT).