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Ville de Luxembourg: appuis et offres


La représentante de la Ville de Luxembourg au 5e round du Ronnen Desch à Ettelbruck a informé  des appuis et offres de la ville pour des dpi et bpi (habitant la ville ou non) :
– Possibilité de soutien (financier, logistique, …) pour les projets des associations dans le
cadre de la journée internationale des réfugiés du 20 juin ainsi que pour d’autres projets en faveur
des réfugiés
– Participation possible au Faackelzug le 22 juin
Finalement la capitale offre des visites guidées de la ville, de ses musées et des casemates. Aux
groupes de DPI d’amener leur interprète afin de permettre à tous de profiter pleinement de la
visite.
De même, d’autres participations et aides sont possibles afin de garantir l’accès à la culture, aux
sports et aux loisirs, les modalités sont à voir avec le service «Service  Intégration et des besoins
spécifiques » auprès de Madeleine Kayser makayser@vdl.lu .

Alternative à l’épicerie sur roues: assistance alimentaire

Lors du 5e round du Ronnen Desch le 22 mai à Ettelbruck une alternative à l’épicerie sur roues a été présentée.

L’idée était due e.a.  à Madame Gnörich qui en a fait état lors du 3e round  à Steinsel.

Si la perspective y décrite d’une autonomisation des dpi est saluée, des remarques venant de la plénière à Ettelbruck la complètent. La nécessité d’un encadrement est évoquée, le rétablissement de l’image des parents est souligné comme les personnes qui assument la nourriture.
La représentante de la ville de Luxembourg s’engage à faire admettre les dpi aux Cent – butteker.
Il appert que la Ministre de l’Intégration a annoncé que tout nouveau foyer sera équipé d’une cuisine.
Des activités de cuisine se font avec des dpi, une piste à développer.  L’utilisation d’équipements de cuisine dans écoles et centres culturels se heurte à certaines limites.
L’ombudsman reçoit beaucoup de doléances conc cuisine et nourriture des dpi .
Un participant suggère que dans la formule actuelle de livraison des repas, un Syrien ou Irakien, soit intégré dans la firme qui prépare et livre les repas.

Deux exemplaires du document commun du RD et du LFR ont été confiés sur place à l’observateur   du Ministère de l’Intégration et de l’OLAI pour remettre à Madame la Ministre et à Monsieur le Directeur

Assistance alimentaire

 

et encore quelques photos d’Ettelbruck

 

Das Land hinter dem Leid

Das Land hinter dem Leid

Syrische Bewohner desDiekircher Asylbewerberzentrums rücken ihreHeimatbei „Syria Night“ ins rechte Licht

Seit sechs Monaten ist der Herrenberg nicht mehr nur Heimat der Luxemburger Armee, sondern auch von rund 200 Asylbewerbern.
Fällt der Austausch bisweilen auch noch schwer, so reichte man den Diekirchern bei einer „Syria Night“ nun die Hand über den Esstisch hinweg.

Luxemburger Wort 23 Mai 2017 

Fete des voisins à Michelau le 21 mai

Par la même occasion, je profite de vous inviter cordialement à la fête de voisins en date du 21 mai à Michelau qui est organisée par les habitants du Foyer de Michelau en collaboration avec Caritas, le Lions Club Eislek et la Commune de Bourscheid.

Un Concert par Serge Tonnar et Lego Trip clôtura cette manifestation.

La bourgmestre de Bourscheid

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Auf dem Arbeitsmarkt Fuss fassen

Ich gebe ihnen eine Chance“

„Wenn wir die Menschen hier aufnehmen, wollen wir, dass sie Arbeit und eine Wohnung finden. Wir wollen hier keine Camps errichten“, so Außenminister Jean Asselborn vor zwei Jahren, als sich zahlreiche Flüchtlinge aus dem Nahen Osten auf den Weg nach Europa machten.

Zwei Jahre später hat sich die Situation entspannt. Die sogenannte „Flüchtlingskrise“ macht nicht mehr so viele Schlagzeilen wie noch vor fast zwei Jahren und die Gemüter in der Bevölkerung haben sich beruhigt. Nun kommt der nächste Schritt. Die Flüchtlinge sollen integriert werden.

Die ADEM ist zuständig, um den Flüchtlingen Arbeit zu finden. Zwei Berater des Arbeitsamts, die speziell dafür ausgebildet wurden, betreuen die Flüchtlinge und helfen ihnen, Fuß auf dem luxemburgischen Arbeitsmarkt zu fassen. Sie versuchen ihre Kompetenzen und Stärken einzuordnen, bevor sie den Kontakt zu den Arbeitgebern herstellen.

Genau was diesen Kontakt angeht, wollte die Behörde gestern weitergehen als bisher. Sie lud Unternehmer zu einem Gespräch ein, um ihnen die Angst zu nehmen und zu erklären, wie das eigentlich funktioniert, wenn man einen Flüchtling einstellt. Das Thema scheint zu interessieren. Der Saal war fast voll. „Wir hatten 80 Teilnehmer, davon die meisten Unternehmer“, freute sich Isabelle Schlesser, Direk torin der ADEM, im Nachhinein.

 

Tageblatt 12 Mai 2017