Exploitation au travail, violences domestiques, traite humaine…
Des membres de l’ASTI racontent les écueils auxquels les migrantes sont exposées et soulignent les lacunes légales en ces matières.
Camille Vari, Le Quotidien 28.11, 2024
C’est un constat mondial : les femmes migrantes sont le premier groupe vulnérable à la violence.
Selon l’Organisation des Nations unies (ONU), 83 % des personnes exploitées sexuellemen dans le monde sont des femmes migrantes. Le Luxembourg n’échappe pas à ce problème. «Les personnes en situation administrative irrégulière subissent des violences quotidiennes allant de l’exploitation par le travail à la précarité extrême ou aux risques accrus de violence domestique et de traite humaine», explique Jessica Lopes, membre du conseil d’administration de l’ASTI. Une soirée conférence était organisée hier soir pour parler de cette problématique.
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