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CSV/DP: Schluss mit Jean Asselborns „Show-off“-Asylpolitik

„Mit Herz und Verstand“

Die Minister Léon Gloden als auch Max Hahn beteuern, eine „Asylpolitik mit Herz und Verstand“ zu betreiben – und rechnen dabei mit ihrem Vorgänger ab.

Innenminister Léon Gloden (l.) und Familienminister Max Hahn präsentierten am Montag die Asylstatistiken des Jahres 2024.  Foto: Anouk Antony

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Die Beamten gewinnen immer

 Luxemburger Wort INES KURSCHAT  3. Februar 2025 LeitaRTIKEL

Erleichtert sah Serge Wilmes, CSV-Minister für den öffentlichen Dienst, aus, als er am

Mittwoch vor die Presse trat, um das Gehälterabkommen vorzustellen, das die Regierung

diese Woche mit der Beamtengewerkschaft CGFP abgeschlossen hat.

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Gloden bereit zu Gesprächen über Merz‘ Migrationspläne

Binationales Abkommen möglich

Der Favorit auf das deutsche Kanzleramt will die Migrationsströme in die Bundesrepublik stark begrenzen. Luxemburg könnte dabei eine Rolle spielen.

Innenminister Léon Gloden (l.) hatte bisher noch keinen Kontakt zum möglichen zukünftigen Bundeskanzler Friedrich Merz – zeigt sich aber offen für Gespräche über Rückführungen von Dublin-Flüchtlingen.  Foto: Montage: LW

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Coordination des initiatives d’employabilité des dpi.

De nombreuses initiatives promeuvent l’employabilité des dpi et bpi.

Elles sont – à juste titre soutenues par le gouvernement, voir des programmes de l’UE.

Dans la Question parlementaire 1685  la députée Joelle Welfring a vouluen savopir davantage.

La réponse énumère CNS, SINGA, ALDIC et Concord de Passerell.

Par curiosité de la députée a voulu savoir :

  •  Quel type de coordination existe-t-il entre les différentes initiatives visant à améliorer l’employabilité des dpi, dpt et bpi au Luxembourg?
  • Quels sont les liens structurels entres ces initiatives et l’ADEM ?

Dans sa réponse le Ministre

  • renvoie à une plateforme composée de nombreux Ministères et Administration. aucune place pour les associations
  • Pas de réponse au 2e volet

Pas de comité consultatif des résidents dans les foyers pour réfugiés

La députée Joelle Welfring est revenu à la loi du 18 décembre 2015 qui prévoit:

« les demandeur[.e.]s peuvent participer à la gestion des ressources matérielles et des aspects non matériels de la vie dans la structure d’hébergement par l’intermédiaire d’un comité ou d’un conseil consultatif représentatif des personnes qui y sont hébergées. »

la députée demande: 

  • Dans combien de foyers d’hébergement de pareils comités fonctionnentd’ores et déjà et de quelles structures d’accueil s’agit-il ?
  • Quelles initiatives sont prévues par Monsieur le Ministre afin de promouvoir la mise en place de tels comités ?

Réponse du Ministre Hahn

À l’heure actuelle, aucun comité ou conseil consultatif représentatif formel des personnes est actif au sein des structures d’hébergement du réseau de l’ONA. La diversité des langues, des cultures et des points de vue liés aux origines les personnes hébergées, complique en effet la création d’un tel comité.

Cependant, plusieurs initiatives existent et d’autres sont en développement pour encourager la participation des personnes hébergées. Ainsi, les encadrants socio-éducatifs tiennent régulièrement des réunions d’échange avec elles, axées sur la gestion et la vie en communauté, leur offrant ainsi l’opportunité d’exprimer leurs besoins. En réponse, des mesures adaptées sont mises en place : les échanges permettent donc aux personnes hébergées de contribuer activement à la gestion des ressources et des aspects immatériels de la vie dans les structures, favorisant une meilleure gestion collective et un environnement plus harmonieux. Les personnes hébergées peuvent ainsi participer à la conception de certains aspects de la vie communautaire dans les structures d’hébergement par ce biais.

 

Conclusion

La possibilité prévue par la loi pour donner une voix et une dimension démocratique à cette prise de parole ne rencontre manifestement pas d’intérêt dans le chef du gouvernement

Les dpi par commune

La Question parlementaire de Joelle  Welfring 1687

“Le programme gouvernemental 2023-2028 prévoit que les demandeur.e.s de

protection internationale (dpi) « seront répartis équitablement à travers le pays. Toutes

les communes devront participer et être solidaires en ce qui concerne l’effort de créer

des structures pour dpi ». Néanmoins, en réponse à la question parlementaire n°622,

il a été révélé que « le gouvernement ne prévoit à l’heure actuelle pas l’établissement

d’une telle clé de répartition obligatoire pour les communes. »

Dans ce contexte, je me permets de poser les questions suivantes :

1. Quelle sont les raisons pour lesquelles Monsieur le Ministre s’est décidé de ne plus poursuivre l’objectif d’une répartition équitable de structures pouvoir héberger des demandeur.e.s de protection internationale à travers le pays ?

2. Monsieur le Ministre peut-il fournir des données actuelles concernant le nombre de dpi, de demandeur.e.s de protection temporaire (dpt) ainsi que de bénéficiaires de protection internationale (bpi) hébergé.e.s dans les structures de l’Etat par commune ?

3. Combien de nouvelles structures ont été mises en place sous la législature actuelle ?

 

Réponses du Ministre

Il en ressort que 34 communes (sur 100) hébergent des réfugiés

“Le gouvernement continue à poursuivre l’objectif d’une répartition équitable des structures pour DPIà travers le pays. Le ministère de la Famille, des Solidarités, du Vivre ensemble et de l’Accueil (MFSVA) ainsi que l’Office nationale de l’accueil (ONA) sont en permanence à la recherche de terrains etbâtiments afin d’assurer la mission d’accueil de manière adéquate. Tel qu’indiqué dans la réponse àla question parlementaire n°622, les discussions avec les communes sont intensifiées afin de continuer à développer le réseau de structures d’accueil à travers le pays. En effet, les communes sont des partenaires essentiels dans ce cadre, non seulement en ce qui concerne la mise en place de nouvelles structures pour DPI, mais également en ce qui concerne l’intégration et le vivre-ensemble au sein de la commune.”

Conclusion :

Loin de l’obligation (devront) inscrite dans le programme gouvernemental

Quant à des cours de langue obligatoires pour dpi

Le gouvernement prévoit dans son programme des cours de langue obligatoires pour les demandeurs de protection internationale.

La député Joelle Welfring a voulu en savoir davantage ,

voici ses questions (Question parlementaire 1686)

1. Combien de cours ont déjà été mis en place depuis décembre 2023 pour répondre à l’objectif du gouvernement de proposer des cours de langues et de vivre ensemble à tous les dpi ?

2. L’approche de cours obligatoires vaut-elle également pour les demandeur.e.s de protection temporaire ?

3. Est-ce que des enseignant.e.s supplémentaires seront nécessaires afin de pouvoir proposer des cours à tous les dpi ? Dans l’affirmative, quels sont les besoins à cet égard, et comment le personnel enseignant supplémentaire sera-t-il recruté et formé ?

4. De manière générale, quels seront les moyens mis en œuvre pour répondre à l’objectif du gouvernement de proposer des cours de langues et de vivre ensemble à tou.te.s les dpi ?

5. Comment le gouvernement compte-t-il appliquer l’obligation précitée de suivre des cours ?

et la réponse du Ministre :

Une plateforme interministérielle a été créée sous l’égide du ministère de la Famille, des Solidarités, du Vivre ensemble et de l’Accueil (MFSVA), dans le but de favoriser davantage l’employabilité et l’intégration des demandeurs de protection internationale (DPI), des bénéficiaires de protection internationale (BPI) et des bénéficiaires de protection temporaire (BPT). Cette initiative interministérielle rassemble divers acteurs œuvrant dans ce domaine : l’Office national de l’accueil(ONA), l’Office national de l’inclusion sociale (ONIS), la Division « Vivre-ensemble » du MFVSA, l’Agence pour le Développement de l’Emploi (ADEM) du Ministère du Travail, la Direction Générale de l’Immigration du Ministère des Affaires intérieures (MAINT), ainsi que le Service de formation des adultes (SFA) et le Service de la formation professionnelle (SFP) du Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse (MENEJ).

L’objectif fondamental de ce groupe de travail est de définir ensemble un parcours d’insertion professionnelle commun qui vise à renforcer l’employabilité des individus concernés, à coordonner de manière efficace l’intervention des différents acteurs impliqués et à promouvoir l’intégration et le vivre-ensemble au sein de la société luxembourgeoise. Ainsi, le développement de l’offre de cours de langues et de vivre-ensemble, en sus de l’offre existante, fait partie des travaux de la plateforme interministérielle en question. Tandis que les travaux y relatifs se poursuivent, il est trop tôt de se prononcer sur les détails.

Conclusion:

au lecteur de voir s’il y a eu réponse aux 5 questions