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Les revendications et propositions de la coalition Wunnrecht

Revendications de la coalition Wunnrecht

envers l’Etat (législateur ou gouvernement)

ici sous forme de pdf

  • Le logement ne doit plus être considéré comme un produit financier : le logement est avant tout un besoin et devrait être inscrit dans la constitution. La charte sociale européenne révisée qui considère le droit au logement comme droit fondamental devrait être ratifiée et appliquée par le Luxembourg.
  • Concrétiser d’urgence la promesse des logements de réserve prévue dans le projet de loi actuel 7ti37 relatif au logement abordable à hauteur d’au moins une centaine pour tout le pays à répartir régionalement.
  • Instaurer un contrôle pour vérifier que le “besoin personnel” allégué par le propriétaire est véridique et garantir aux locataires obligés de quiLer le logement pour cause de grandes rénovations le retour à leur logement.
  • Mettre en oeuvre un véritable moratoire sur les déguerpissements.
  • Mettre en place un outil efficace de contrôle du plafonnement des loyers, en remplaçant l’actuel seuil des 5% du capital investi, qui ne correspond plus à aucune réalité́, par un nouveau système prenant en compte le pouvoir d’achat. Remplacer le coefficient de revalorisation d’anciens logements par un coefficient moins élevé qui ne s’oriente pas sur le prix actuel du marché.
  • Faire supporter les frais d’agence intégralement par le propriétaire qui demande ce service (principe du demandeur payeur).

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élections 2023: Les revendications de la société civile

Pour les élections nationales du 8 octobre 2023  de nombreuses composantes de la société civile ont fait part de leurs soucis/ propositions/ revendications. Souvent elles ont été soumises et discutées avec les partis politiques

En voici :

Oh­ne Rück­sicht auf Ver­lus­te

Die Zeit 3. August 2023

(2  Fragen : war Luxemburg bei den 12 Mitgliedstaten , war 1 Luxemburger EU Parlamentarier bei den 37?)

In­ter­ne Un­ter­la­gen zei­gen: Das Aus­wär­ti­ge Amt und meh­re­re EU-Mit­glieds­staa­ten sind em­pört dar­über, wie die Kom­mis­si­on den Mi­gra­ti­ons­de­al mit Tu­ne­si­en durch­ge­peitscht hat. Von Fran­zis­ka Grill­mei­er, Bas­ti­an Müh­ling und Yas­sin Mus­har­bash

Es klang wie ein Durch­bruch, und so soll­te es auch klin­gen: Man ha­be ein »gu­tes Pa­ket« ge­schnürt, er­klär­te Ur­su­la von der Ley­en, Prä­si­den­tin der EU-Kom­mis­si­on, am 16. Ju­li. Das Me­mo­ran­dum zwi­schen der EU und Tu­ne­si­en er­mög­li­che ei­ne »in­te­grier­te Be­wäl­ti­gung der Mi­gra­ti­ons­kri­se«, se­kun­dier­te Gior­gia Me­lo­ni. Der Deal, so die ita­lie­ni­sche Mi­nis­ter­prä­si­den­tin, kön­ne Vor­bild für wei­te­re Ab­kom­men mit nord­afri­ka­ni­schen Staa­ten sein. Auch von der Ley­en wünsch­te sich, dass das Ab­kom­men an­ders­wo »nach­ge­ahmt« wer­de.

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des réformettes dépourvues de réelle plus-value

 

Prise de position de l’ASTI concernant le Projet de loi 8227

La Chambre des Députés s’apprête à voter le projet de loi 8227, qui apporte des modifications ponctuelles au Code du travail, à la loi sur la libre circulation des personnes et l’immigration, ainsi qu’à la loi relative à l’accueil des demandeurs de protection internationale et de protection temporaire.

 

Pour l’ASTI, il est tout d’abord regrettable que le Gouvernement ait attendu la fin de la législature pour procéder à des modifications législatives, qui, pour certaines, avaient été avancées par le biais de propositions concrètes depuis des années par les organisations de la société civile, notamment l’ASTI et le Lëtzebuerger Flüchtlingsrot (LFR).

S’il est clair qu’il y a des avancées à travers certaines dispositions, celles-ci sont timides et limitées. L’ASTI note, comme le fait le Conseil d’État dans son avis, que « (…) bon nombre des modifications proposées sont dépourvues de réelle plus-value et sont dès lors inutiles. »[1].

Sanctionner au lieu de régulariser : le monde à l’envers

Les modifications du Code du Travail proposées par le Gouvernement augmentent et élargissent les sanctions envers les employeurs de ressortissants de pays tiers en situation administrative irrégulière. L’ASTI s’étonne que l’exécutif n’ait pas eu l’idée de résoudre le problème en régularisant la situation des personnes qui sont déjà présentes sur le territoire luxembourgeois. Cela dit, il est évident que les employeurs qui emploient au noir pour en tirer profit, doivent être sanctionnés. En 2013, lors de la transposition d’un texte législatif européen qui augmentait les sanctions pour les employeurs, le Gouvernement avait ouvert une procédure de régularisation (d’ailleurs la dernière en date), de façon à remettre les compteurs à zéro. Cette fois-ci, les personnes directement concernées, souvent en situation d’exploitation, sont oubliées. Sanctionner davantage sans régulariser, signifiera pour beaucoup de travailleurs et pour leurs familles encore plus de précarisation et d’exclusion. Il est difficile de voir ici une politique « très bienveillante et généreuse »[2], dont le Ministère de l’Immigration et de l’Asile se vante.

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Une réunion fructueuse

Mise en place de la Couverture Universelle des Soins de Santé (CUSS) : une réunion fructueuse

Les Ministres de la Santé et de la Sécurité Sociale, entourés de leurs conseillers, ont reçu le 10 juillet une délégation des organisations mettant en place la CUSS (Couverture Universelle des Soins de Santé), à savoir le Comité National de Défense Sociale (CNDS), la Croix-Rouge luxembourgeoise, Jugend an Drogenhëllef, Médecins du Monde, Ronnen Dësch et Stëmm vun der Strooss. Cette réunion a permis de faire le point sur la CUSS qui fonctionne sous la forme d’un projet pilote depuis avril 2022.

Le fonctionnement actuel du projet est certes prometteur et permet à de nombreux citoyens de retrouver santé et dignité. En 2022, les dossiers de 223 personnes ont été traités (45% des personnes concernées par la CUSS ont entre 31 et 45 ans, 79% des personnes sont seules / n’ont pas ou plus de partenaire, 35% vivent depuis plus de 5 ans au Luxembourg, 10 personnes ont pu régulariser leur situation administrative) et pour 106 personnes une CUSS a été accordée. Cependant, faute de ressources, certaines associations ont dû mettre en suspens les affiliations CUSS, créant ainsi de profondes injustices en ce qui concerne l’accès aux soins de santé.

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élections 2023 : les programmes des partis politiques

Au fur et à mesure que les partis politiques publieront leurs programmes, vous trouverez les liens vers ces programmes ici

Liste 1 – LSAP
Liste 2 – DP-Demokratesch Partei
Liste 3 – déi Gréng
Liste 4 – CSV
Liste 5 – déi Lénk
Liste 6 – ADR
Liste 7 – PIRATEN
Liste 8 *
Liste 9 – FOKUS

Liste 10 –  Volt

Liste 11 – KPL

Liste 12 – Liberté – Fräiheet

Liste 13 – Konservativ Fräiheetspartei

* Pour les élections communales il y avait une liste à laquelle le No 8 avait été attribué. Comme elle ne se représente pas aux législatives, le No 8 reste vierge

Gardien de foyer du Kirchberg, victime de la police en France

Un gardien d’une structure de réfugiés du Kirchberg victime de la police à Mont St Martin, près de Longwy

Le Monde 4 juillet 2023

 

Insciptions en solidarité à Aimene, ayant reçu un tir de LBD par le RAID le soir du vendredi 30 juin 2023. Il est plongé dans un coma artificiel et son pronostic vital est engagé. Mont-Saint-Martin, Meurthe-et-Moselle. Le 4 juillet 2023
NICOLAS LEBLANC/ITEM POUR « LE MONDE »

Emeutes urbaines : à Mont-Saint-Martin, un jeune homme dans le coma et des interrogations sur l’intervention du RAID

Par  (Longwy, Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle), Arlon (Belgique), envoyé spécial)

Publié le 04 juillet 2023 à 19h41, modifié le 05 juillet 2023 à 08h50

Rien qu’un mot, un geste, un soupir, un sourire… Ils attendent son réveil. Depuis vendredi 30 juin, Aimène Bahouh, 25 ans, est plongé dans le coma après qu’il a, selon ses proches, reçu à la tête un bean bag, (« sac de haricots »), un projectile sous forme de sachet de coton contenant de minuscules plombs tiré par un policier du RAID à Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle). Catherine Galen, procureure de la République au tribunal judiciaire de Val-de-Briey, a ouvert une enquête en flagrance pour « fait de violence volontaire », confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN).

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«On n’a pas avancé depuis 15 ans»

  • Pour Anita Helpiquet, le projet de réforme porté par l’ex-ministre Corinne Cahen est à côté de la plaque.

    Photo : fabrizio pizzolante

Précurseur en matière d’intégration et de citoyenneté au Luxembourg, le CLAE voit aujourd’hui des années d’efforts balayées par le projet de loi sur le vivre-ensemble interculturel.

Déposé le 20 février dernier par l’ex-ministre de la Famille et de l’Intégration, Corinne Cahen, le projet de loi sur le vivre-ensemble interculturel, actuellement examiné en commission parlementaire, peine à convaincre les associations engagées de longue date dans le combat pour la citoyenneté (lire notre édition du 5 mai). À l’image du CLAE, qui publie un avis cinglant.

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Les programmes des partis politiques pour les élections du 8 octobre

e que les partis politiques publieront leurs programmes, vous trouverez les liens vers ces programmes ici

Liste 1 – LSAP
Liste 2 – DP-Demokratesch Partei
Liste 3 – déi Gréng
Liste 4 – CSV
Liste 5 – déi Lénk
Liste 6 – ADR
Liste 7 – PIRATEN
Liste 8 *
Liste 9 – FOKUS

Liste 10 –  Volt

Liste 11 – KPL

Liste 12 – Liberté – Fräiheet

Liste 13 – Konservativ Fräiheetspartei

Droit d’asile : le travail, une des clés pour une intégration réussie

Le Qotidien  26/06/23

Depuis le début de l’année, 868 personnes ont introduit une demande de protection internationale au Luxembourg. (Photo : archives editpress)

Améliorer l’accueil des réfugiés et favoriser leur intégration, au lieu de miser sur le tout sécuritaire, sont au centre des revendications du LFR en matière de droit d’asile.

À l’aube des élections législatives, qui se dérouleront le 8 octobre prochain, le collectif d’associations et d’organisations Lëtzebuerg Flüchtlingsrot (LFR ou Collectif réfugiés Luxembourg) a fait part aux différents partis politiques de ses revendications en matière de droit d’asile. Et, cette année, alors que deux projets de loi viennent d’être votés, témoignant d’un durcissement des mesures sécuritaires à l’encontre des réfugiés, le LFR souhaite d’autant plus mettre l’accent sur l’intégration de ces personnes «déracinées».

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