LUkraine fuerdert besser Koordinatioun tëscht de Ministèren
Den Accueil zu Lëtzebuerg vun den ukrainesche Refugiée wier no dräi Méint Krich ewell besser rodéiert, mee et géif nach ëmmer un Zesummenaarbecht a Koordinatioun tëschent dem Familljen- an dem Ausseministère feelen, sou d’Associatioun LUkraine.
Dofir fuerdert d’Associatioun LUkraine en Internetsite, wou d’Refugiéen zentraliséierten alleguer déi relevant Informatioune fannen an do och déi néideg Demarchë maache kéinten. Dat seet eis de President vun der Associatioun Nicolas Zharov op Nofro hin.
Eng weider grouss Erausfuerderung bleift den zäitnoen Accès zu engem Logement, fir dat se net missten wochelaang an temporäre Strukturen ewéi Sportshalen oder Zelter liewen.
Den Accueil vun de Kanner a Jugendlechen an de Lëtzebuerger Schoule wier gutt a wichteg gewiescht fir datt déi Jonk op aner Gedanke kommen an erëm sozial Kontakter hunn.
Elo misst ee sech Gedanke maachen, wat een dësen iwwert der Summer kéint ubidden, well si jo net kéinten an d’Vakanz fueren, esou de Nicolas Zharov, President vu der Asbl LUkraine.
Den Accueil zu Lëtzebuerg vun den ukrainesche Refugiée wier no dräi Méint Krich ewell besser rodéiert, mee et géif nach ëmmer un Zesummenaarbecht a Koordinatioun tëschent dem Familljen- an dem Ausseministère feelen, sou d’Associatioun LUkraine.
Dofir fuerdert d’Associatioun LUkraine en Internetsite, wou d’Refugiéen zentraliséierten alleguer déi relevant Informatioune fannen an do och déi néideg Demarchë maache kéinten. Dat seet eis de President vun der Associatioun Nicolas Zharov op Nofro hin.
Eng weider grouss Erausfuerderung bleift den zäitnoen Accès zu engem Logement, fir dat se net missten wochelaang an temporäre Strukturen ewéi Sportshalen oder Zelter liewen.
Den Accueil vun de Kanner a Jugendlechen an de Lëtzebuerger Schoule wier gutt a wichteg gewiescht fir datt déi Jonk op aner Gedanke kommen an erëm sozial Kontakter hunn.
Elo misst ee sech Gedanke maachen, wat een dësen iwwert der Summer kéint ubidden, well si jo net kéinten an d’Vakanz fueren, esou de Nicolas Zharov, President vu der Asbl LUkraine.
La crise du logement affecte aussi les réfugiés
Ne parvenant pas à trouver un logement dans le délai imparti de 12 mois après l’obtention de leur statut, les réfugiés sont souvent contraints de rester dans les structures d’accueil.
La crise du logement que connaît le Luxembourg affecte aussi les bénéficiaires de protection internationale (BPI). Ces derniers doivent en effet normalement quitter la structure d’accueil dans laquelle ils sont hébergés dans un délai de 12 mois après l’obtention de leur statut et trouver alors leur propre logement. Faute d’y parvenir au vu du marché actuel, ils sont contraints de demeurer dans ces structures prévues initialement pour les demandeurs de protection internationale (DPI), c’est-à-dire ceux qui n’ont pas encore obtenu (ou été déboutés) du statut de réfugié.
Selon les derniers chiffres communiqués par le gouvernement, au 30 avril 2022, 1 735 BPI étaient hébergés dans les structures de l’Office national de l’accueil (ONA), soit 46 % du nombre total de personnes hébergées dans ce réseau, un chiffre en constante augmentation depuis 2017. La durée de résidence moyenne d’un BPI en structure d’accueil est actuellement de 600 jours, soit un plus d’un an et demi. Là encore, la durée moyenne a augmenté de manière constante ces dernières années.
Une situation qui n’a pas manqué d’alerter Nathalie Oberweis. Dans sa question parlementaire (QP n° 6088), la députée déi Lénk interroge le gouvernement pour savoir quelles sont les initiatives mises en place afin de remédier à ce problème. Comme le rappelle Nathalie Oberweis en effet, un réfugié a la possibilité d’être hébergé gratuitement par une personne privée mais à ce moment, il ne peut plus retourner en structure d’accueil. Seulement, au bout d’un an, pouvant perdre son droit au revenu d’inclusion sociale (Revis), le BPI risque alors de se trouver à charge de sa famille d’accueil. Des dispositions qui ne semblent «pas de nature à encourager l’hébergement de BPI par des particuliers», souligne la députée. Ceux qui restent en structure d’accueil, doivent, eux, payer une participation au logement, «une indemnité d’occupation».
«Cette mesure spécifique relative à une dérogation au principe de la communauté domestique (…) permet aux personnes (…) de bénéficier du Revis sans être obligées de payer des frais en relation avec leur logement du fait qu’elles sont hébergées à titre gratuit. Il a été décidé de limiter cette disposition garantissant le paiement de l’allocation d’inclusion intégrale comprenant la part couvrant les frais communs pour permettre aux bénéficiaires de trouver un logement autonome. Ce délai est considéré comme approprié par rapport aux autres bénéficiaires qui sont tenus de supporter leurs frais de logement ou qui tombent sous les dispositions de la communauté domestique», a répondu le ministre de l’Immigration et de l’Asile, Jean Asselborn, dans sa réponse datée du 23 mai dernier.
«En attendant les résultats de l’évaluation du dispositif du Revis conformément à la motion votée par la Chambre des députés lors du vote de la loi relative au Revis, il n’est à l’heure actuelle pas prévu d’apporter un changement à cette disposition législative», a ajouté le ministre.
Retard de paiement
Comme le souligne par ailleurs la députée Nathalie Oberweis dans sa question parlementaire, certains BPI vivant dans des foyers de l’ONA «sont – pour diverses raisons – en retard de payement de leur loyer envers l’ONA». Entre 2019 et ce jour, «110 procédures judiciaires pour cause de non-paiement de dettes accumulées ont été lancées contre des BPI», a confirmé le ministre Jean Asselborn dans sa réponse, qui précise toutefois qu’avant une procédure judiciaire, un rappel de paiement puis une mise en demeure de payer la dette dans les trois mois sont d’abord adressés au BPI.
Le pourcentage des montants demandés effectivement perçu après que les ordonnances de paiement ont été rendues reste cependant «difficile, voire impossible» à donner, a précisé le ministre : «Les remboursements effectués par les parties débitrices sont souvent échelonnés et irréguliers; les paiements sont effectués soit entre les mains de l’huissier de justice, soit directement sur le compte de l’ONA auprès de la Trésorerie de l’État et les montants remboursés peuvent varier d’un mois à l’autre», a-t-il conclu.
La crise du logement que connaît le Luxembourg affecte aussi les bénéficiaires de protection internationale (BPI). Ces derniers doivent en effet normalement quitter la structure d’accueil dans laquelle ils sont hébergés dans un délai de 12 mois après l’obtention de leur statut et trouver alors leur propre logement. Faute d’y parvenir au vu du marché actuel, ils sont contraints de demeurer dans ces structures prévues initialement pour les demandeurs de protection internationale (DPI), c’est-à-dire ceux qui n’ont pas encore obtenu (ou été déboutés) du statut de réfugié.
Selon les derniers chiffres communiqués par le gouvernement, au 30 avril 2022, 1 735 BPI étaient hébergés dans les structures de l’Office national de l’accueil (ONA), soit 46 % du nombre total de personnes hébergées dans ce réseau, un chiffre en constante augmentation depuis 2017. La durée de résidence moyenne d’un BPI en structure d’accueil est actuellement de 600 jours, soit un plus d’un an et demi. Là encore, la durée moyenne a augmenté de manière constante ces dernières années.
Une situation qui n’a pas manqué d’alerter Nathalie Oberweis. Dans sa question parlementaire (QP n° 6088), la députée déi Lénk interroge le gouvernement pour savoir quelles sont les initiatives mises en place afin de remédier à ce problème. Comme le rappelle Nathalie Oberweis en effet, un réfugié a la possibilité d’être hébergé gratuitement par une personne privée mais à ce moment, il ne peut plus retourner en structure d’accueil. Seulement, au bout d’un an, pouvant perdre son droit au revenu d’inclusion sociale (Revis), le BPI risque alors de se trouver à charge de sa famille d’accueil. Des dispositions qui ne semblent «pas de nature à encourager l’hébergement de BPI par des particuliers», souligne la députée. Ceux qui restent en structure d’accueil, doivent, eux, payer une participation au logement, «une indemnité d’occupation».
«Cette mesure spécifique relative à une dérogation au principe de la communauté domestique (…) permet aux personnes (…) de bénéficier du Revis sans être obligées de payer des frais en relation avec leur logement du fait qu’elles sont hébergées à titre gratuit. Il a été décidé de limiter cette disposition garantissant le paiement de l’allocation d’inclusion intégrale comprenant la part couvrant les frais communs pour permettre aux bénéficiaires de trouver un logement autonome. Ce délai est considéré comme approprié par rapport aux autres bénéficiaires qui sont tenus de supporter leurs frais de logement ou qui tombent sous les dispositions de la communauté domestique», a répondu le ministre de l’Immigration et de l’Asile, Jean Asselborn, dans sa réponse datée du 23 mai dernier.
«En attendant les résultats de l’évaluation du dispositif du Revis conformément à la motion votée par la Chambre des députés lors du vote de la loi relative au Revis, il n’est à l’heure actuelle pas prévu d’apporter un changement à cette disposition législative», a ajouté le ministre.
Retard de paiement
Comme le souligne par ailleurs la députée Nathalie Oberweis dans sa question parlementaire, certains BPI vivant dans des foyers de l’ONA «sont – pour diverses raisons – en retard de payement de leur loyer envers l’ONA». Entre 2019 et ce jour, «110 procédures judiciaires pour cause de non-paiement de dettes accumulées ont été lancées contre des BPI», a confirmé le ministre Jean Asselborn dans sa réponse, qui précise toutefois qu’avant une procédure judiciaire, un rappel de paiement puis une mise en demeure de payer la dette dans les trois mois sont d’abord adressés au BPI.
Le pourcentage des montants demandés effectivement perçu après que les ordonnances de paiement ont été rendues reste cependant «difficile, voire impossible» à donner, a précisé le ministre : «Les remboursements effectués par les parties débitrices sont souvent échelonnés et irréguliers; les paiements sont effectués soit entre les mains de l’huissier de justice, soit directement sur le compte de l’ONA auprès de la Trésorerie de l’État et les montants remboursés peuvent varier d’un mois à l’autre», a-t-il conclu.
Réunion d’information conc. un Foyer pour Ukrainiens au Kirchberg
Reportages à la télé le 12 mai dans le journal de RTL
Interview du Ministre Asselborn
Reportage radio RTL le 13 mai journal de 7.3o heures
Reportage Tageblatt 14 Mai 2022
Reportage Le Quotidien 14 mai 2022
Passerell milite toujours pour le respect des droits humains
Révélée au grand public à l’occasion de la sortie en 2018 du documentaire «Grand H» de Frédérique Buck portant sur l’accueil des réfugiés au Luxembourg, l’asbl Passerell dresse un bilan de son action quatre ans plus tard et évoque la situation des réfugiés ukrainiens, mais aussi de tous les autres.
Luxemburger Wort online 5 mai 2022
Accès immédiat des réfugiés d’Ukraine à la Sécurité Sociale
Alors qu’un demandeur de protection internationale
- est inscrit d’office à l’assurance maladie volontaire qui ne prend effet qu’après un stage de 3 mois
- et que pendant ces 3 mois il a accès aux soins par des bons de l’ONA
la législation a été adaptée aux bénéficiaires de la protection temporaire (lisez les réfugiés d’Ukraine)
ils bénéficieront d’office à partir du 4 mars 2022 d’une inscription de plein exercice à l’assurance maladie
Loi votée le 28 avril 2022
Hausse des discriminations raciales en 2021 Le rapport d’activités 2021 du CET: ici
Le communiqué de presse du CET :lire
Hausse vun de rassisteschen Diskriminatiounen 2021 RTL 3 mai 2022
Diskriminierung aufgrund der Rasse nimmt zu. Luxemburger Wort 4. Mai 2022
Das hat Rassismus zur Sprache gebracht tageblatt 4. Mai 2022 .
Les discriminations en hausse Le Quotidien 4 mars 2022
„Wir dachten, dass es weniger lange dauert“
LUXEMBURG Flüchtlingshilfe:
Bei vielen bürokratischen Prozessen ist Geduld gefragt
LUXEMBURG Flüchtlingshilfe:
Bei vielen bürokratischen Prozessen ist Geduld gefragt
Integration: „Einen Schneeballeffekt verhindern“
Je länger der Krieg in der Ukraine währt, desto größer wird die Notwendigkeit einer langfristig ausgerichteten Integrationspolitik. Wir haben mit Sérgio Ferreira, dem politischen Beauftragten der Association de Soutien aux Travailleurs Immigrés (Asti), über vergangene Fehler und aktuelle Herausforderungen gesprochen.
Rassismus – debatte Rassismus ohne Rassen
Stefan Kunzmann Revue 21.04.2022
Diskriminierung aufgrund von Herkunft und Hautfarbe ist
nach wie vor weit verbreitet – auch in Luxemburg, wie eine Studie belegt. Das zeigt sich auch bei der „Zweiklassenmigration“
im Umgang mit Geflüchteten.
Rassismus zu Lëtzebuerg: Et brauch institutionell Verännerungen
RTL Background am Gespréich vum 23. Abrëll – Antonia Ganeto, Max Hahn a Sylvain Besch
E Samschdeg waren d’Spriecherin vu Finkapé, den DP-Deputéierten an de Responsabele vum CEFIS eis Invitéen an der Emissioun Background am Gespréich.
Et feelt un Ulafstellen fir sech géint Rassismus ze wieren, dat ass an eiser Emissioun Background am Gespréich iwwert de Rassismus hei am Land däitlech ginn. Invitée waren d’Antónia Ganeto, Spriecherin vun Finkapé, de Max Hahn vun der DP, President vun der Chambercommissioun fir Famill an Integratioun an de Sylvain Besch, Responsabele vum CEFIS a Co-Auteur vun enger Etüd iwwert de Rassismus zu Lëtzebuerg.
Dee Rapport mëscht däitlech, dass et och hei am Land e Problem mat Rassismus an Diskriminatioune gëtt. Deen sech virun allem a bestëmmte Beräicher weist, wéi den Co-Auteur vun der Etüd, de Sylvain Besch ervirgestrach huet:
Grouss Secteuren wéi d’Aarbecht, d’Schoul an d’Wunnen wiere besonnesch impaktéiert, wéi d’Etüd gewisen huet. Duerch déi qualitativ Approche vum CEFIS hätt een och déi verschidde Formen vu Rassismus gesinn. Ausserdeem war et och d’Zil vun der Etude ze kucken, wéi eng Gruppen vu Leit besonnesch vu Rassismus an/oder Diskriminatioune betraff sinn. Do hätt sech eraus gestallt, dass virun allem Leit mat enger schwaarzer Hautfaarf betraff sinn.
Doriwwer eraus och Leit, déi en arabeschen oder muslimeschen Hannergrond hunn, esou wéi och Persounen mat portugiseschen Originnen.
2/3 vun de Persounen, déi rassistesch diskriminéiert ginn, maachen awer keng Plainte. Och dat ass am Rapport ze liesen. D’Antónia Ganeto, Spriecherin vu Finkapé, kennt dat Phenomen:
Wann ee schafft, ass ee nämlech finanziell ofhängeg. Andeems ee géint säi Patron oder Virgesetzten virgeet, riskéiert ee vill. Bei Finkapé hätten sech scho mol Leit gemellt, déi wéinst hirer Hautfaarf diskriminéiert goufen a net wossten, wat si sollte maachen.
D’Aktivistin vu Finkapé huet och selwer eng Plainte wéinst sexisteschen a rassistesche Beleidegungen am Internet deposéiert, wat net einfach gewiescht wier, wéi si an eiser Emissioun soot. Den Täter gouf zu enger Geldstrof vun 1500€ verurteelt. An engem Gespréich mat der Antónia Ganeto hätt hien säi Feeler och net agesinn, esou nach d’Antónia Ganeto.
Den Hannergrond: beim Fraestreik am Mäerz 2020 gouf eng Foto vun der Antónia Ganeto gemaach, wéi si an e Megaphon schwätzt op deem e Sticker vu Richtung 22 war mam Sproch „Lëtzebuerg, du hannerhältegt Stéck Schäiss“ gepecht war. De Sticker, respektiv déi Ausso hat awer näischt mat der Ried vun der Antónia Ganeto ze dinn an si hat d’Pechbild och guer net bemierkt, wéi si de Megaphon kritt huet. Doropshin gouf awer rassisteschen an sexisteschen Hate Speech an de soziale Reseauen ausgeléist. Eng traumatiséierend Erfarung, wéi d’Aktivistin ënnerstrach huet.
Mat hirer Plainte hätt si virun allem wëlle weisen, dass et wichteg ass an d’Ëffentlechkeet ze goen an de Rassismus kloer ze weisen.
Et wier net un den Associatiounen eleng fir d’Leit opzefänken, mee et bréicht een och Institutiounen, déi dohannert stinn. Den Zentrum fir Gläichbehandlung CET huet net genuch Ressourcen oder Pouvoiren, fir d’Leit konkret bei Fäll vu Rassismus kënnen ze begleeden. Fir de Max Hahn, President vun der zoustänneger Chamberkommissioun fir Famill an Integratioun missten et verschidden Ulafstelle ginn, dorënner eben och den CET, fir deen elo Ännerunge virgesi sinn. Den DP-Deputéierten Max Hahn sot, dass de Wëllen do wier, wat een och an der Chamberdebatt iwwert de Rassismus gesinn hätt. An der Chamber gouf och eng Motioun gestëmmt, déi méi Ressourcen fir den CET virgesäit. Et goufen och scho nei Leit agestallt, fir deem gerecht ze ginn. Doriwwer eraus wier et awer och wichteg, de Leit ze kommunizéieren, dass et déi Ulafstell gëtt. An et misst ee kloer definéieren, wat alles als Diskriminéierung zielt.
Sensibiliséieren ass och der Antónia Ganeto wichteg. Woubäi si awer betount huet, dass e nationale Plang fir Integratioun dofir net duergeet. Et misst een de Problem beim Numm nennen an et bréicht een dofir e nationalen Aktiounsplang géint de Rassismus, deen konkret a gezielt Léisunge virgesäit.
Déi rezent Etüd vum CEFIS, dem Zenter fir interkulturell a sozial Studien a Formatiounen an dem Liser, dem Zenter fir sozio-ekonomesch Recherche wier sécher eng Chance, fir eppes ze verbesseren, seet d’Antonia Ganeto vu Finkapé. Se wierklech ze bewäerten, wär awer schwiereg, well se nach net den Experte virgestallt gouf. Allgemeng misst méi op Sensibiliséierung gesat ginn, fir dass sech Saache verbesseren. Déi dräi Invitée waren sech dann och eenz, dass de Rapport net dierft am Tirang verschwannen. Elo wou een Zuelen hätt, wier et wichteg weider ze kucken, wéi d’Etüd kann hëllefen fir géint de Rassismus zu Lëtzebuerg virzegoen.