CET : rapport annuel 2020
Au cours de la période du 1er janvier au 31 décembre 2020, le CET a reçu 184 nouvelles demandes. S’y ajoutent 19 dossiers qui n’ont pas pu être clôturés au cours de l’année précédente. Un total de 203 dossiers a donc été traité en 2020, ce qui représente un nouveau record depuis la création du CET.
47% des requêtes ont été déposées par des hommes et 38% par des femmes. Les 15% restants provenaient d’organisations ou étaient des autosaisines. Il faut noter que le sexe de la personne qui contacte le CET est enregistré, il ne s’agit donc pas forcément du sexe de la victime de la discrimination.
Une grande partie des requêtes a été soumise par des personnes âgées de plus de 51 ans. 39% des dossiers proviennent de personnes ayant la nationalité luxembourgeoise et 56% de ressortissant·e·s de l’UE.
Comme l’année précédente, la discrimination fondée sur le handicap (49 cas) occupe la première place, suivie par l’origine ethnique (44 cas). Le motif sexe est en troisième place en 2020 (39 cas).
Dans 51% des cas, le CET a pu résoudre le problème, conseiller la personne ou l’orienter vers un autre service. 21% des dossiers n’ont pas pu être clôturés au 31 décembre 2020 et dans 17% des cas, la personne s’est désistée. Dans 11% des dossiers, le CET n’a pas pu constater de discrimination (soit par manque de preuves, soit parce que la discrimination ne tombait pas dans le champ d’application du CET). Dans un cas, le CET n’a pas pu intervenir, car l’affaire avait déjà été traitée au tribunal.
Le CET examine également régulièrement les offres d’emploi publiées dans les quotidiens ; à noter que le nombre d’offres discriminatoires n’a cessé de diminuer au fil des années.
Le rapport annuel ici
Au cours de la période du 1er janvier au 31 décembre 2020, le CET a reçu 184 nouvelles demandes. S’y ajoutent 19 dossiers qui n’ont pas pu être clôturés au cours de l’année précédente. Un total de 203 dossiers a donc été traité en 2020, ce qui représente un nouveau record depuis la création du CET.
47% des requêtes ont été déposées par des hommes et 38% par des femmes. Les 15% restants provenaient d’organisations ou étaient des autosaisines. Il faut noter que le sexe de la personne qui contacte le CET est enregistré, il ne s’agit donc pas forcément du sexe de la victime de la discrimination.
Une grande partie des requêtes a été soumise par des personnes âgées de plus de 51 ans. 39% des dossiers proviennent de personnes ayant la nationalité luxembourgeoise et 56% de ressortissant·e·s de l’UE.
Comme l’année précédente, la discrimination fondée sur le handicap (49 cas) occupe la première place, suivie par l’origine ethnique (44 cas). Le motif sexe est en troisième place en 2020 (39 cas).
Dans 51% des cas, le CET a pu résoudre le problème, conseiller la personne ou l’orienter vers un autre service. 21% des dossiers n’ont pas pu être clôturés au 31 décembre 2020 et dans 17% des cas, la personne s’est désistée. Dans 11% des dossiers, le CET n’a pas pu constater de discrimination (soit par manque de preuves, soit parce que la discrimination ne tombait pas dans le champ d’application du CET). Dans un cas, le CET n’a pas pu intervenir, car l’affaire avait déjà été traitée au tribunal.
Le CET examine également régulièrement les offres d’emploi publiées dans les quotidiens ; à noter que le nombre d’offres discriminatoires n’a cessé de diminuer au fil des années.
Le rapport annuel ici