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Précisions utiles: intégration, cartes de crédit, compétences, etc.

Réponse commune de Monsieur le Ministre de l’Immigration et de l’Asile et de Madame la Ministre de la Famille et de l’Intégration à la question parlementaire n°514 de Monsieur le Député Paul Galles

2 avril 2019

Résumé:

  1. à l’arrivée des dpi le PIA
  2. le comité interministériel éventuellement modifié quant à sa composition
  3. Les appels à projet et le co – financement de projets sont de la compétence du Ministère de la Famille.
  4. les projets associatifs (e.a. de Mateneen) seront évalués: ni modalités ni calendrier encore arrêté
  5. le projet pilote de cartes de crédit est en train d’être évalué.
  6. l’épicerie sur roue est constamment contrôlé quant à la qualité. Le contrat se termine fin 2019, si on continue avec une épicerie sur roues un marché public e choisira un prestataire

Question 1 : À l’étranger et notamment en Allemagne, l’Etat s’efforce de mettre en route des mesures d’intégration dès l’arrivée de DPI pour gagner du temps. Alors qu’il appert que les structures d’accueil seront bientôt sous la responsabilité du Ministre des affaires étrangères et européennes, comment le Gouvernement entend-il planifier des mesures d’intégration immédiates des DPI ?

Afin de préparer au mieux et de faciliter ainsi l’intégration des personnes réfugiées dans la société luxembourgeoise, il est en effet essentiel d’amorcer le plus rapidement possible les premières mesures en faveur de cette intégration. C’est ce principe qui est à la base du « Parcours d’intégration accompagné » (PIA) ; ainsi, la première phase du PIA (PIA1) s’adresse aux demandeurs de protection internationale, dès leur arrivée sur le territoire, tandis que la deuxième phase (PIA2), qui met l’accent sur l’apprentissage des langues, s’adresse aux personnes qui sont toujours en attente d’une décision sur leur statut et qui ont accompli les cours du PIA1. Le nouveau partage des responsabilités entre le ministère des Affaires étrangères et européennes et le ministère de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région, ne modifiera en rien ce principe. L’intégration est un processus qui nécessite la mise en réseau et la coopération de plusieurs ministères et d’une multitude d’autres acteurs. Dans le contexte du PIA, une étroite coopération entre les services en charge de l’accueil et ceux en charge de l’intégration continuera à être de mise.

Question 2 : Madame et Monsieur les Ministres peuvent-ils me dire comment le Comité interministériel à l’intégration tiendra compte des nouvelles répartitions des compétences ministérielles ? Le Gouvernement entend-il ouvrir le Comité interministériel à l’intégration à la société civile et en publier les comptes rendus à l’instar de la pratique du Comité interministériel pour la coopération au développement ?

Le comité interministériel à l’intégration rassemble de représentants du tous les ministères concernés. Partant, la nouvelle répartition des compétences ministérielles n’aura pas d’impact sur la composition de ce comité interministériel qui restera placé sous l’autorité du ministre de la Famille et de l’Intégration. D’éventuelles modifications quant à son fonctionnement seront analysées et discutées au sein du comité.

Question 3 : Madame et Monsieur les Ministres peuvent-ils me préciser quel Ministère sera l’interlocuteur et le financeur dans le cadre des appels à projet dans le cadre du PAN intégration ?

La mise en œuvre du Plan d’action national pluriannuel d’intégration 2018 (PAN) est de la compétence du ministère de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région.

Question 4 : D’après de programme gouvernemental, « Les dernières années, de nombreuses associations et projets citoyens se sont constitués afin de favoriser l’intégration des réfugiés. Ces apports extrêmement importants de la société civile méritent d’être soutenus. Ces projets feront l’objet d’une évaluation afin de pérenniser les meilleurs projets ». Madame et Monsieur les Ministres peuvent-ils me préciser qui sera en charge de cette évaluation et dans quel lapse de temps celle-ci sera-t-elle réalisée ?

L’analyse et l’évaluation des projets d’intégration sont de la compétence du département Intégration du ministère de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région. Les modalités et le calendrier de cette démarche n’ont pas encore été arrêtés.

Question 5 : Madame et Monsieur les Ministres peuvent-ils me renseigner sur l’état concernant le projet-pilote munissant les DPI de cartes prépayées rechargeables pour assurer eux-mêmes leurs achats et pour ainsi se préparer à une vie autonome une fois qu’ils pourront quitter la structure d’accueil ? Combien de personnes respectivement de foyers d’accueil ont participé à ce projet-pilote ? Les Ministres sont-ils déjà en mesure de confirmer si ce nouveau système sera généralisé ?

Lancé le 1er février 2018, le projet pilote munissant les demandeurs de protection internationale de cartes prépayées rechargeables est toujours en cours. Il s’applique actuellement à une structure d’hébergement. Entre la date de lancement et le 20 mars 2019, 46 ménages ont participé au projet pilote. Une évaluation du projet est en cours afin de déterminer les avantages et insuffisances du système testé. Cette évaluation permettra de définir les outils logistiques qui devront être mis en place pour pouvoir déployer le projet à d’autres structures.

Question 6 : L’épicerie mobile ayant été la cible de nombreuses critiques notamment en ce qui concerne la quantité, la qualité et la structure des prix, le Gouvernement entend-il prolonger le contrat avec le fournisseur et si oui sous quels termes ?

Le contrat actuel avec le fournisseur de l’épicerie sur roues se termine fin décembre 2019. Des contrôles de qualité et des adaptations de l’offre ont lieu de manière continue auprès du prestataire actuel.

Si au-delà de cette date, la solution de l’épicerie mobile est retenue pour la fourniture en denrées alimentaires de certaines des structures d’hébergement pour demandeurs de protection internationale, un nouveau marché public sera publié pour sélectionner le fournisseur pouvant au mieux répondre aux besoins des personnes hébergées.

Opération Sophia – combattre la criminalité sans protéger les victimes ?

(…) l’Union Européenne condamne des milliers de victimes à rester entre les mains des trafiquants en Libye. L’été dernier, l’augmentation du périmètre de la zone de recherche et de secours des garde-côtes libyens avec le soutien de l’UE a eu pour conséquence que les migrants qui étaient secourus dans cette zone étaient dès lors renvoyés vers la Libye. Le 20 décembre 2018, le Bureau de la Mission des Nations Unies en Libye a publié un document[1] dans lequel il est rapporté que l’écrasante majorité des migrants et réfugiés sont détenus arbitrairement sans aucune base légale. Beaucoup de ceux détenus dans les centres de rétention dits « officiels » sont les survivants d’abus terribles alors qu’ils ont été de manière systématique tenus captifs, affamés, passés à tabac quotidiennement, torturés et/ou violés à des fins d’extorsion.

En outre, l’actualité rappelle combien la situation est instable et dangereuse en Libye. Les menaces d’attaques sur Tripoli du maréchal Khalifa Haftar contre le gouvernement dit «d’ union nationale » font craindre une nouvelle escalade de violence. (…)

Communiqué de presse du LFR

Echos de la 9e plénière du Ronnen Desch à Platen

La Newsletter reprenant les échanges de la 9e plénière du Ronnen Desch à Platen est sortie.

La voici

Voici des échos de la réunion du LFR et du RD avec le Ministre du Travail:

Le Letzebuerger Flüchtlingsrot et le Ronnen Dësch ont eu une entrevue avec le Ministre Kersch et l’Adem en date du 12 mars 2019. La délégation a cru comprendre qu’il pourrait y avoir une ouverture pour laisser tomber le test du marché pour l’embauche de ressortissants de pays tiers dans les secteurs en pénurie de main-d’œuvre. Le Ministre et l’Adem ne voyaient pas d’inconvénient à l’idée de donner un document aux DPI 6 mois après leur demande de protection internationale, informant les employeurs de leur droit au travail et expliquant les conditions. Ils ont par ailleurs confirmé que la procédure d’AOT (autorisation d’occupation temporaire) sera simplifiée, comme prévu dans le programme du nouveau gouvernement, mais ne pouvaient pas encore donner davantage de précisions.

La Honte: l’UE sauve sans bâteaux !

Article dans le Monde du 29 mars 2019

Les Européens restreignent la mission Sophia en Méditerranée

L’opération se voit privée de ses navires de sauvetage des migrants

ROME, BRUXELLES – correspondantsUne opération navale… sans navires : en acceptant, sous la pression du gouvernement italien, de limiter, dès le 1er avril, le champ d’action de sa mission Sophia en Méditerranée, en la privant de ses bateaux, l’Union européenne a signé une première. Elle a confirmé, mercredi 27 mars, que cette opération – aussi appelée Eunavfor Med – emblématique de la politique de sécurité et de défense commune serait à la fois prolongée de six mois et vidée de sa substance : même si elle est actuellement dirigée par un amiral, elle se limitera désormais à une surveillance aérienne des côtes libyennes et à la poursuite d’une mission – très contestée – de formation des gardes-côtes de ce pays. Ces unités s’emploient à arraisonner et reconduire en Libye les candidats à l’exil, jusque dans les eaux internationales, au mépris des conventions régissant le droit de la mer.

Sophia, qui aurait sauvé la vie de 45 000 migrants en Méditerranée depuis 2015, est aussi censée poursuivre, à partir du ciel, sa lutte contre les trafiquants qui organisent le départ des migrants. Mais elle ne dispose actuellement que de quelques hélicoptères fournis par quatre Etats – dont l’Italie. Jusqu’ici, 150 trafiquants ont été arrêtés, et 500 embarcations détruites.

La décision de limiter la portée de Sophia est une victoire pour le gouvernement de Rome, dont l’intransigeance a vaincu les préoccupations humanitaires de l’UE. Le vote unanime des Etats signe une défaite en rase campagne de la Commission de Bruxelles et de la haute représentante pour la diplomatie, Federica Mogherini, qui tentaient d’assurer la survie de Sophia, ainsi baptisée après la naissance d’une petite fille, nommée Sophia, sur un bateau qui avait recueilli sa mère enceinte. Mercredi, Maja Kocijancic, porte-parole de Mme Mogherini, a dû concéder qu’il était « clair que, sans les moyens maritimes, l’opération ne sera plus à même d’appliquer efficacement son mandat ».

Réduits à compiler des données

Depuis le départ de la zone des bateaux d’ONG, interdits d’entrée dans les ports italiens depuis l’été 2018, les navires de Sophia jouaient un rôle essentiel dans l’observation plus que dans l’assistance, qui n’était pas leur fonction première. Leur disparition marque la fin d’une source d’information et d’alerte essentielle, alors que le Centre de coordination des recherches de Rome refuse depuis plusieurs mois de communiquer.

Les observateurs en sont donc réduits à compiler des données partielles, comme les arrivées sporadiques sur l’île de Lampedusa, sur lesquelles les données sont de plus en plus lacunaires – ainsi, deux navires avec 39 personnes à bord y sont arrivés lundi, mais il semble impossible d’obtenir le chiffre des arrivées depuis le début de l’année.

En ce qui concerne l’activité en mer, aucune vision d’ensemble n’est plus possible. Faute d’observateurs, il devient encore plus illusoire de chercher à estimer le nombre de morts en mer, alors que, régulièrement, les médias indépendants font état de la découverte de cadavres rejetés par la mer sur les côtes libyennes, sur lesquels on ne saura jamais rien.

Dunja Mijatovic, commissaire aux droits humains du Conseil de l’Europe, a déploré la décision des Vingt-Huit alors que, dit-elle, des vies continuent d’être perdues en Méditerranée. On a recensé 5 438 morts et disparus en 2017 et 2018, 160 depuis début 2019. Un chiffre jugé sous-évalué par des experts et qui augmente sans doute, sans témoins désormais.

A Bruxelles, diverses sources soulignent aussi qu’en limitant ses opérations maritimes l’Europe contribuera au retour des migrants en Libye. Un pays où, soulignent divers rapports, violences, détentions abusives – y compris de jeunes enfants – et viols sont fréquents. La condamnation très molle, par les Européens, des conditions de détention en Libye est un autre motif de préoccupation. Matteo de Bellis, spécialiste de la migration à Amnesty International, qui évoque « l’outrageuse abdication » des Etats de l’UE, estime qu’ils devraient au moins conditionner la poursuite de leur coopération avec Tripoli à la fermeture des centres d’enfermement.

 

Acces to job !

Applicants for international protection have a very limited accedd to the Luxemburgish labour market. As the procedures for asylum applications last very long and are sometimes very complicated, the asylum seekers are oftens poorly prepared for labour market in Luxembourg.

For this reason, ASTI has set up a project, with the goal to prepare the asylum seekers for the labour market by offering a workshop, distibuted on four days. We offer four session:

  • getting a know-how on the Luxemburgish labour market
  • learning how to prepare a CV
  • getting prepared for job interviews
  • preparing a professional projet by knowing the conditions of getting a job in Luxemburg, or by discovering the different training centres and the different instruments to find a job, aso.

As every participant has different needs, we offer an individual guidance during the four sessions, based on their personal competences and their professional project.

The goal of the project is to give asylum seekers the tools they need to find a job in Luxemburg. Therefor they need some training, because every country has different claims on job candidates. After the four sesions, the participants are entitled to a participation certificate.

The first four sessions will be in april:

Tuesday, April 9th 2019
Thursday, April 11th 2019
Tuesday, April 16th 2019
Thursday, April 18th 2019

The course will be for free.

To participate at this project, candidates need to contact the email ana.angel@asti.lu or the phone number 43 83 33 – 1 and arrange an appointment for the registration.

Here the flyer in english, french and arabe.

Les demandeurs ou bénéficiaires de protection internationale ont un accès très limité au marché de travail luxembourgeois. Étant donné que les procédures de demande d’asile durent très longtemps et sont parfois très compliquées, les DPI ou BPI sont souvent mal préparés au marché de travail luxembourgeois.

Pour cette raison, ASTI a mis en place un nouveau projet dans le but de préparer les demandeurs d’asile au marché de travail en proposant un atelier, organisé sur quatre jours. Le premier jour, les participants apprennent le fonctionnement du marché de travail au Luxembourg. Le deuxième jour consiste à préparer un CV et le troisième à se préparer pour un entretien d’embauche. Le dernier jour consiste à préparer son propre projet professionnel et à connaître les différents centres de fomation et les instruments permettant de trouver un emploi.

Comme chaque participant a des besoins différents, nous proposons une orientation individuelle au cours des quatre sessions, en fonction de leurs compétences personnelles et de leurs objectifs.

L’objectif du projet est de donner aux DPI/ BPI les outils dont ils ont besoin pour trouver un emploi au Luxembourg. A la fin de cette formation, les participants reçoivent un certificat de participation de la part de l’ASTI.

Le premier workshop aura lieu en avril:

  • Mardi, le 09 avril 2019
  • Jeudi, le 11 avril 2019
  • Mardi, le 16 avril 2019
  • Jeudi, le 18 avril 2019

le matin de 9:00 à 11:00 heures à l’ASTI.

Le cours sera gratuit.

Pour participer au projet, les candidats intéressé(e)s doivent contacter l’émail ana.angel@asti.lu ou téléphoner au numéro 43 83 33 – 1 afin de fixer un rendez-vous pour un enregistrement.

Berufseinstieg von Flüchtlingen: Der Abgrund zwischen Theorie und Praxis

Berufseinstieg von Flüchtlingen und Asylbewerber*innen: Der Abgrund zwischen Theorie und Praxis

Der Hochschulzugang für Asylbewerber*innen und Flüchtlinge lässt in Luxemburg zu wünschen übrig. Für arbeitssuchende Flüchtlinge gibt es im Vergleich zwar mehr Maßnahmen, nur gehen die in der Praxis oft nicht auf. Fabienne Colling (Präsidentin und Direktorin von Touchpoints) sowie Martine Neyen (Projektleiterin bei Touchpoints) sehen Handlungsbedarf.

woxx 25.3.2019

 

Esch: Flüchtlingsheim vor Fertigstellung

Erste Asylbewerber könnten den Neubau in Esch im Sommer beziehen

Esch/Alzette. Es war eine Schwergeburt. Das Vorhaben, in Esch/Alzette ein Heim für Asylbewerber zu errichten, reicht bis auf das Jahr 2015 zurück. Jetzt ist Licht am Ende des Tunnels in Sicht.

In fast rekordverdächtiger Zeit sind die beiden Gebäude auf dem sogenannten „Quai“ im Viertel Neudorf aus der Erde gewachsen. Das ist darauf zurückzuführen, dass teilweise auf eine Fertigbauweise zurückgegriffen wurde. Nun sind die Baufirmen mit den Innenarbeiten beschäftigt.

Es war auf dem Höhepunkt der Flüchtlingskrise 2015, als die Regierung an die Gemeinde Esch herantrat mit der Bitte, einen Beitrag zu leisten und eine Infrastruktur zur Verfügung zu stellen, um Menschen aus Krisenregionen aufzunehmen. Die zweitgrößte Stadt des Landes zeigte sich damals bereit, Verantwortung zu übernehmen, doch auf uneingeschränkte Gegenliebe stieß das Projekt nicht. Die ursprüngliche Aufnahmekapazität für 300 Menschen schien einer Bürgerinitiative, die sich im Viertel Neudorf bildete, doch etwas überproportioniert. Auch der Interessenverein hatte seine Bedenken.

Von 300 auf 150 abgespeckt

Erst als die frühere Bürgermeisterin Vera Spautz und der damalige Innenminister Dan Kersch im November 2016 eine deutlich abgespeckte Version des Projekts vorstellten, beruhigten sich die Gemüter. Die Aufnahmekapazität wurde auf 150 halbiert. Außerdem soll das Vorhaben einen zusätzlichen sozialen Anstrich durch die Schaffung von Sozialwohnungen erhalten.

Inzwischen sind die beiden zweistöckigen Gebäude mit einer Nutzfläche von knapp 4 000 Quadratmetern auf dem 0,5 Hektar großen Areal in die Höhe geschossen. Im Erdgeschoss werden die Verwaltungs- und Gemeinschaftsräume eingerichtet. Die Wohnräume entstehen im ersten Stockwerk. Es ist vorgesehen, dass die Gemeinschaftsräume auch als Ausbildungssäle genutzt werden können.

Wann die ersten Flüchtlinge in den Neubau einziehen werden, ist noch unklar. LW-Informationen zufolge könnte das im Sommer dieses Jahres sein. rsd

Luxemburger Wort 22 März 2019

Analyse du budget par l’ASTI : et le vivre ensemble ?

La proposition de Budget pour 2019 du 2ème Gouvernement Bettel/Schneider/Braz porte la marque de l’accord de coalition qui l’a précédé : peu d’ambitions sur le « Vivre ensemble ».

Communiqué de l’ASTI du 21 mars 2019

Extrait : “(…)  Très troublants sont les millions dépensés en frais de gardiennage dans le cadre de l’accueil des réfugiés : 22.262.689€ attribués au seul ONA à venir. Personne ne nie l’importance des questions de sécurité, mais nous nous étonnons qu’une telle somme soit dépensée que en frais gardiennage. Il est regrettable qu’un tel effort financier ne soit pas mis en place dans l’encadrement social et l’intégration des demandeurs de protection internationale, respectivement dans l’intégration en général au Luxembourg. Comparés aux 2.253.000€ prévus dans le Budget de l’État pour le PAN, le Contrat d’Accueil et d’Intégration (CAI) et le Parcours d’Intégration Accompagné (PIA), la somme prévue en frais de gardiennage dans le cadre de l’accueil des réfugiés montre un budget plus soucieux des questions sécuritaires que du « Vivre ensemble » au Luxembourg. Or, une bonne connaissance du Luxembourg et un bon vivre ensemble sont davantage garants de la cohésion sociale (…)”

Rassismus: Sensibilisieren und aufklären

Der 21. März ist Internationaler Tag zur Beseitigung der Rassendiskriminierung. Es ist wenig bekannt über die Lage im Land: Die einen sehen Licht, die anderen Schatten.

Wort online 21.03.2019

Racisme : L’impossibilité d’une île

Alors que le nation branding veut faire miroiter l’image d’un pays ouvert et tolérant, une étude récente apporte des chiffres désastreux sur le racisme au Luxembourg – qui ne se donne pas les moyens de lutter contre ce phénomène.

Woxx 21.03.2019

 

Alltagsrassismus ohne Folgen

journal.lu – 21.03.2019